


Prunier "Prune de chien"
Arbre de vigueur forte, au port dressé à étalé, bien ramifié, rustique et particulièrement adapté aux zones de moyenne à haute altitude. Il supporte bien les sols pauvres, caillouteux ou secs, et montre une excellente résistance au froid. La mise à fruit est rapide, avec une production abondante et régulière, notamment en verger naturel ou peu conduit.
Le fruit est petit à très petit, de forme arrondie, légèrement ovale. La peau est violacée à noire. L’épiderme est épais, un peu astringent si consommé trop tôt.
La chair est jaune à orangée, ferme, peu juteuse, avec une saveur douce mais peu marquée, parfois légèrement acidulée. Le noyau est libre, petit, et se détache facilement. La prune de chien est peu appréciée en consommation fraîche mais très recherchée pour la transformation : notamment en eaux-de-vie, confitures rustiques ou prunes séchées.
La floraison est tardive, autour de mi-avril à fin avril, ce qui la met à l’abri des gelées printanières. La variété est autostérile : elle nécessite la présence d’autres pruniers à floraison simultanée pour bien fructifier.
La récolte se fait de fin août à début septembre, parfois plus tard en altitude. Les fruits tombent facilement à maturité, ce qui en facilite la collecte, notamment pour la distillation ou le séchage.
Très résistante aux maladies, en particulier à la moniliose. Elle est souvent cultivée en arbres isolés, en haies rurales ou en bordure de vergers, pour sa rusticité et sa facilité d’entretien.
Origine : variété paysanne ancienne, répandue dans de nombreuses régions rurales de France, notamment dans le Massif Central, les Alpes et les Cévennes. Souvent utilisée localement pour la fabrication de "gnôle" ou de prunes séchées artisanales.
Arbre de vigueur forte, au port dressé à étalé, bien ramifié, rustique et particulièrement adapté aux zones de moyenne à haute altitude. Il supporte bien les sols pauvres, caillouteux ou secs, et montre une excellente résistance au froid. La mise à fruit est rapide, avec une production abondante et régulière, notamment en verger naturel ou peu conduit.
Le fruit est petit à très petit, de forme arrondie, légèrement ovale. La peau est violacée à noire. L’épiderme est épais, un peu astringent si consommé trop tôt.
La chair est jaune à orangée, ferme, peu juteuse, avec une saveur douce mais peu marquée, parfois légèrement acidulée. Le noyau est libre, petit, et se détache facilement. La prune de chien est peu appréciée en consommation fraîche mais très recherchée pour la transformation : notamment en eaux-de-vie, confitures rustiques ou prunes séchées.
La floraison est tardive, autour de mi-avril à fin avril, ce qui la met à l’abri des gelées printanières. La variété est autostérile : elle nécessite la présence d’autres pruniers à floraison simultanée pour bien fructifier.
La récolte se fait de fin août à début septembre, parfois plus tard en altitude. Les fruits tombent facilement à maturité, ce qui en facilite la collecte, notamment pour la distillation ou le séchage.
Très résistante aux maladies, en particulier à la moniliose. Elle est souvent cultivée en arbres isolés, en haies rurales ou en bordure de vergers, pour sa rusticité et sa facilité d’entretien.
Origine : variété paysanne ancienne, répandue dans de nombreuses régions rurales de France, notamment dans le Massif Central, les Alpes et les Cévennes. Souvent utilisée localement pour la fabrication de "gnôle" ou de prunes séchées artisanales.